🚨 Audrey Lamy et les cambrioleurs étrangers : analyse de la polémique ! 💰

L’actualité récente m’a permis de découvrir une certaine Audrey Lamy, une personne dont j’ignorais totalement l’existence. Pour moi, Lamy c’était un éditeur spécialisé dans la documentation juridique. J’avais même oublié l’existence d’une certaine Alexandra Lamy, connue pour son rôle dans la série « Un gars, une fille » avec Jean Dujardin et qui a, paraît-il, tenu d’autres rôles dans divers films, ce que j’ignorais également, préservant ma santé mentale en me tenant soigneusement à l’écart de la plupart des artistes français, tant ce milieu est mortifère.

J’apprends donc récemment l’existence d’Audrey Lamy, qui se trouve être la sœur cadette d’Alexandra. Toutes les deux sont actrices, j’ai d’ailleurs cru comprendre que l’une des premières apparitions d’Audrey était dans un film avec Alexandra. N’ayant vu ni l’une ni l’autre dans un film, je me garderais bien de donner un avis sur leurs talents.

 

L’actualité récente d’Audrey Lamy pourrait d’ailleurs concerner son univers professionnel. Il se trouve que non, pas du tout. Sa présence dans les médias ces jours-ci est consécutive au jugement devant le tribunal judiciaire de Montpellier au début du mois des cambrioleurs d’origine italo-bosniaques qui ont dérobé en 2022 dans sa résidence secondaire de Saint-Gély-du-Fesq dans l’Hérault plusieurs biens, notamment des bijoux et des sacs à main, pour un préjudice total égal à 18 200 euros.

Dans ce dossier, Audrey Lamy avait refusé de procéder à un dépôt de plainte en raison, indique la presse, du fait que ces cambrioleurs étaient en situation irrégulière. Audrey Lamy aurait en effet été touchée en plein cœur par cette situation. Je précise qu’en l’absence d’un dépôt de plainte, il s’agit probablement d’une perte réelle pour Audrey Lamy, puisque les assurances exigent en principe l’existence d’un dépôt de plainte pour prendre en charge une indemnisation. Je précise également que 18 000 euros représentent un montant supérieur à ce que perçoit annuellement en net un salarié au smic. Il semblerait que pour Audrey Lamy, perdre 18 000 euros finalement ce n’est pas aussi grave que cela, ce qui nous permet d’estimer que cette personne ne vit pas dans le même monde que la plupart d’entre nous.

Le tribunal a finalement estimé que sur les trois personnes accusées de cambriolages, deux devaient être relaxées, tandis que la troisième personne a été condamnée à un an de prison ferme avec mandat de dépôt et une interdiction du territoire français pendant 10 ans. Il est ainsi heureux que le parquet se soit saisi de l’affaire, ce qui a abouti à la condamnation précitée d’une personne, tandis que les deux autres, relaxées, sont toujours en situation irrégulière sur notre territoire mais libres d’évoluer dans celui-ci selon leur bon vouloir.

Le motif indiqué par la presse pour justifier l’absence de dépôt de plainte par Audrey Lamy, à savoir qu’il s’agisse de personnes étrangères en situation irrégulière, peut bien évidemment conduire à s’interroger sur l’attitude qu’elle aurait adoptée si les personnes en cause dans ce dossier avaient la nationalité française. En effet, un raisonnement à contrario donne à penser qu’elle aurait procédé à un dépôt de plainte dans ce cas-là. Si ce raisonnement est exact, cela illustrerait parfaitement un penchant bien connu du monde cinématographique consistant à tout excuser aux personnes venant d’ailleurs mais rien à ceux qui ne répondent pas à ce trait caractéristique.

Le monde cinématographique en France est surprotégé et perclus de subventions. Les acteurs de cet univers disposent de revenus élevés et sont d’éternels donneurs de leçons, alors qu’ils vivent dans un monde déconnecté de la réalité des mortels. Plutôt que de perdre du temps et de l’argent avec leurs produits de très faible qualité, il est préférable de focaliser notre attention sur autre chose. S’instruire, participer à des conférences, lire des livres de qualité, visionner des films intéressants, voir des documentaires constituent des activités plus enrichissantes. Se détourner du cinéma français actuellement est quasiment devenu une œuvre de salut public.

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