Prendre soin de la mère et du fœtus pour éviter un avortement

Selon le Dr John Bruchalski, fondateur d’une clinique médicale confessionnelle pro-vie, l’avortement n’est jamais nécessaire pour sauver la vie de la mère en cas de complications graves et potentiellement mortelles pendant la grossesse.

Il affirme que le but médical devrait être de prendre soin de la mère et du fœtus et de les amener aussi loin que possible dans la grossesse, sans recourir à l’avortement.

Il cite des exemples de complications où les antibiotiques et une surveillance étroite peuvent être utilisés pour stabiliser la santé de la mère et du fœtus.

Il note que certains traitements médicaux peuvent entraîner l’accouchement avant que le fœtus ne puisse survivre en dehors de l’utérus ou mettre indirectement fin à la vie du fœtus, mais cela ne constitue pas un avortement, car ils ne sont pas destinés à mettre intentionnellement fin à la vie du fœtus.

Le Dr Bruchalski affirme également que les avortements électifs deviennent plus dangereux à mesure que la grossesse avance et que les avortements après 24 semaines peuvent entraîner des complications de santé graves pour la mère.
Il soutient que le spectre des femmes mourant en couches parce qu’on leur a refusé l’avortement est un argument fallacieux avancé par les militants pro-avortement pour maintenir la pratique de l’avortement à la demande.

Source : « Tuer un bébé n’est jamais nécessaire pour sauver la vie de la mère », par Michel Janva, publié le 3 mars 2023 sur le salonbeige.fr.